Avantages salariés

Au Chapon d’Or, avec le Conseil Départemental de l’Ain

Discussions passionnées à propos des élections… et autour des spécialités culinaires de la région avec nos convives de la collectivité territoriale, bien décidés à défendre les atouts de Bourg-en-Bresse. Des arguments d’autant plus convaincants qu’un soleil généreux aide à voir la ville en rose.
#Alimentation #Déjeuner #ticket restaurant
17 mai 2017

Discussions passionnées à propos des élections… et autour des spécialités culinaires de la région avec nos convives de la collectivité territoriale, bien décidés à défendre les atouts de Bourg-en-Bresse. Des arguments d’autant plus convaincants qu’un soleil généreux aide à voir la ville en rose.

Un doux air de printemps flotte sur Bourg en Bresse en cette mi-avril. Il ne fait pas tout à fait assez chaud pour s’installer sur la terrasse du Chapon d’Or, où Romain Carles, Directeur Régional des Ventes Secteur Public et son collaborateur Romain Gerbier, tous d’eux d’Edenred, nous attendent. Nous ? Philippe Belair, Directeur Général Adjoint au Conseil Départemental de l’Ain, Marie-Claude Jaravel, Responsable du service des actions sociales, ses deux collaboratrices, Laurence Degottex et Céline Aznar, et votre serviteur.

L’ambiance est chaleureuse dès le début du repas, bien aidée par la découverte des spécialités culinaires de ce restaurant récompensé par plusieurs guides… ainsi que celle d’un excellent cru du Bugey.

Laurent Gerra, sort de ce corps !

Le sujet du moment s’invite au menu. Si aucun des convives ne se laisse aller à communiquer son choix pour la Présidentielle, les langues se délient à propos des débats télévisés, tandis que la verve des humoristes sur les radios fait visiblement mouche, en cette période où rire est plus que jamais nécessaire pour détendre l’atmosphère. Philippe Belair doit même s’organiser le matin pour écouter à la fois Charline Vanhoenacker sur France Inter et Laurent Gerra. L’imitateur fétiche de RTL est, du reste, un enfant du pays (Mézériat pour être précis), et avec lequel Marie-Claude Jaravel tient à tout prix à me trouver une ressemblance !

Département numéro 1

C’est l’occasion de taquiner les fiertés locales en interrogeant mes voisins sur les curiosités incontournables de l’Ain. Céline Aznar n’y va pas par quatre chemins : « Il faut vous rendre au Monastère Royal de Brou ». D’accord mais pourquoi ? L’érudit Philippe Belair vole à son secours : « Il s’agit d’un des plus beaux exemples de Gothique Flamboyant en France, le site a d’ailleurs été classé monument préféré des français dans l’émission TV de Stéphane Bern ».

La conversation porte aussi sur la région de la Dombes avec ses mille étangs, et sur la Bresse avec ses fameux poulets de Bresse et ses chapons. Et glisse presque naturellement sur le terrain « départemental », après une mandature qui a failli marquer la fin de ces collectivités nées avec la Révolution Française. « La création des conseils départementaux (fin 2015, NDLR), à la place des conseils généraux, a finalement pérennisé la collectivité » se réjouit Philippe Belair.

Le commerce local dit merci aux titres restaurant

Le conseil départemental de l’Ain a des missions extrêmement variées, qui emploient 2200 collaborateurs, dont 500 à Bourg-en-Bresse. « C’est un employeur majeur pour la commune » ajoute Romain Gerbier, qui nous livre au passage une statistique étonnante : « Nous avons pu mesurer qu’un euro en valeur faciale d’un titre-restaurant se traduisait par une dépense de 2,37 euros dans les commerces de proximité ».

Raison de plus pour poursuivre un partenariat de longue date entre le Conseil Départemental de l’Ain et Edenred ? En tous cas, dès le premier juillet prochain, la collectivité innove en introduisant la Carte Ticket Restaurant® dans son offre aux collaborateurs. « Ce qui est marquant ici, souligne Romain Carles, c’est le travail d’information en amont mais aussi le choix laissé à chacun d’opter, soit pour le tout papier, soit pour le tout dématérialisé, ou encore pour un mix 50/50 des deux ». Le compliment est sincère et justifié. Pourra-t-on en dire autant des conseils de ses trois voisines, concernant la carte des desserts – « mais non, ils ne sont pas si nourrissants ! » - du restaurant ? Arrivent les desserts parmi lesquels un vacherin presque aussi gros qu’un chapon, et c’est avec lui que le repas s’achève.